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 EADWIG

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Dukett
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Dukett


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MessageSujet: EADWIG   EADWIG EmptyMar 17 Mai - 15:35

Faës



Eadwig A. MacQueen

Hark when the night is falling, hear! hear the pipes are calling, loudly and proudly calling, down thro' the glen. There where the hills are sleeping, now feel the blood a-leaping, high as the spirits of the old Highland men.



Nom : MacQueen
Prénom(s) : Eadwig, Arthur
Âge : 88 ans
Âge d'apparence : La trentaine
Sous-espèce : Phoenix
Date de naissance : 22 Février
Nationalité : Ecossaise
Origine(s) : Royaume-Uni, né en Ecosse, dans les Highlands

Métier : Bibliothécaire – possède une magnifique bibliothèque où les nouvelles oeuvres côtoient d’anciens et magnifiques ouvrages…
Niveau social : Relativement aisé
Statut marital : Célibataire
Orientation sexuelle : Pansexuel

Avatar: Adam Gallagher
Crédits: Dukett & Tumblr
Personnage: Inventé

Petites curiosités

Famille et proches - Ma famille, ou ce qu’il en reste, vit encore en Ecosse, dans le manoir familial. En effet, si mon père était un Humain tout simple, qui s’était épris de ma mère et qui la courtisa longuement avant qu’elle ne cède – pas qu’elle n’en voulait pas, elle se montrait plutôt prudente. C’est qu’elle l’aimait, son humain, aujourd’hui mort de vieillesse. Triste perte que celle d’un père. Plus triste encore sera celle de ma petite sœur, Phoebe, aujourd’hui âgée de 80 ans – ce qui est beaucoup, pour une humaine, vue qu’elle a eu la malchance de ne pas naître Phoenix… Malgré la distance, je reste assez proche de ma famille, avec laquelle je garde contacte – lorsque je ne les appelle pas, je leur écris, veillant bien à prendre de leurs nouvelles… J’ai toujours l’appréhension que l’état de ma sœur se dégrade, et je m’en veux énormément que nous – moi ou ma mère – n’ayons pas pensé à sacrifier une de nos vie lorsqu’il était encore temps, pour que Phoebe puisse rester auprès de nous pour quelques années de plus, et vive une vie bien rempliée de Phoenix…


Position sur le conflit - Je ne peux pas dire que le conflit ne me touche pas, ce serait mentir. J’apprécie la paix – enfin, la paix… – qui a été instaurée, même si elle est… Toute relative. Et j’ai comme l’impression qu’elle va bientôt voler en éclat... C’est pas possible de s’entendre avec ces créatures, croyez-moi… C’est pas possible de leur faire confiance, surtout. Enfin, ce n’est que mon avis, qui ne tente rien n’a rien, comme on dit… Après, quant à rentrer directement dans le conflit, pas vraiment. Je ne vais pas chercher le combat directement, si je peux l’éviter ; je ne vais rien provoquer, mais si on me provoque… Je vais répondre. Je resterai prudent et mesuré si je ne pense pas pouvoir avoir le dessus ou, au moins, tenir tête, mais… Je ne laisserai pas passer d’affront. En revanche, si notre chère reine nous le demandait, oui, j’irai « au front », comme on dit.

Attitude face aux humains - Je crois être plus ou moins bien intégré à la société humaine. Du moins, je ne leur crache pas dessus ! Tout au contraire même, j’en croise pas mal dans ma bibliothèque, et cela me ravit de voir que certains sont encore capable de s’intéresser et d’apprécier de vieux ouvrages, qui parlent parfois de nous. Triste, cependant, de voir qu’ils ne sont pas près d’ouvrir les yeux sur notre existence… Peut-être est-ce mieux comme ça, remarque. Quant à la Cour des Faës, et notre reine, je leur suis fidèle, évidemment (enfin, cela me semble évident à moi, du moins)... Si on a besoin de moi pour quoi que ce soit, je répondrai toujours présent.

Points faibles - Je n’aime pas parler de mes faiblesses – mais quoi de plus normal ? Comme tous les Phoenix, j’ai quelque chose comme… Peur de l’eau. Pourtant, j’ai aussi une sorte d’attirance pour elle (que ma mère qualifiait d’attirance morbide). Je ne supporte pas vraiment la vue d’une trop grande étendue d’eau, et entrer dedans devient très compliqué… Je préfère rester au sec, vous voyez. En revanche, lors des hivers bien froids dans les Highlands, je n’ai jamais été contre un petit bain dans les sources chaudes, à côté du manoir. Chose que je ne fais évidemment plus maintenant que je vis à Ottawa… Plus je vieillis, plus cette crainte de l’eau grandit, j’en ai bien peur.
Ma famille, en particulier ma sœur, reste une faiblesse pour moi. Sans doute est-ce le regret de n’avoir pas eu le courage de sacrifier une de mes vies pour lui offrir le Feu, je ne sais pas, mais je me sais beaucoup plus sensibles aux illusions – comme tous les Phoenix, vous allez me dire – et tout particulièrement lorsqu’il s’agit de Phoebe. Je panique, ne réfléchit pas, fonce tête baissée dès que je la vois, ne pensant même pas qu’elle ne peut pas être ici… Il est très facile de me tendre un piège de cette façon. Mon amour et ma fidélité, de manière plus générale, me perdront peut-être un jour.
Loyal, je le suis, même si – pardonne-moi maman – le café est devenu, avec le chocolat chaud, mon péché mignon plus encore que le bon thé qu’elle me préparait, avant. Shakespeare écrivait : « Mon royaume pour un cheval ! », de mon côté ce serait plutôt « Mon royaume pour un café ! »… Ou un bon chocolat chaud avec de la crème et des marshmallows. Hormis cela, je suis assez gourmand, plutôt de sucré ; que ça soit des fruits ou des pâtisseries, d’ailleurs…
Enfin (« enfin » n’est pas réellement le bon terme), je suis assez têtu eeeet surtouuut peut-être un peu… Fier ? Susceptible ? En général, je sais prendre sur moi, mais si on me cherche trop, ou si j’ai décidé de quelque chose, il n’est relativement pas aisé de me faire changer d’avis. Je peux raisonner tout seul si je me rends compte que je risque plus que je ne peux gagner, mais… Bon courage.



Caractère





La première chose à savoir, c’est que je suis d’extrêmement loyal, en amitié comme en amour. Une fois que vous avez ma confiance et ma sympathie – ou mon cœur – il faudra y aller fort. Très fort. Pas par une petite erreur – je peux pardonner facilement – mais une véritable mesquinerie, quelque chose de vraiment… Blessant. Parce que je suis d’un naturel patient et je sais que tout le monde peut se montrer maladroit… Moi le premier. Et je trouve cela totalement idiot, presque volage (oui, chut) de rompre tout lien avec une personne que l’on apprécie pour un petit dérapage, parfois involontaire, parfois juste provoqué par des émotions trop fortes. Peut-être suis-je « vieux jeu », mais quand j’aime, je ne fais pas semblant. Alors oui, peut-être que mon cercle d’ami est relativement restreint (à savoir que mes amis sont ceux qui me sont les plus proches), tandis que les copains et autres potes peuvent faire partis d’un cercle plus large… Quoi qu’il en soit, plus vous êtes proche de moi et plus je peux me montrer protecteur. Voire possessif. Une possessivité que je parviens à masquer, à déguiser, qui peut mener à de la jalousie, certes, mais… Rien de bien méchant. Pour vous. Parce qu’intérieurement, je bouillonne. En revanche, touchez à un cheveux de mes « petits protégés », dans le but de vouloir les entourlouper ou leur faire mal, et… Vous aurez affaire à moi.

Enfin bref. Sauf si mes proches sont en danger, je suis patient, très patient. Du genre à rester assis dans mon fauteuil toute la journée, plongé dans un livre, sans rien faire d’autre (sauf satisfaire mes besoins naturels). Du genre patienter pendant trois heures dans une file d’attente et rester parfaitement calme – ou presque. Du genre écouter quelqu’un parler pendant de longues heures. En restant intéressé, dans la mesure du possible. Patient aussi, dans le sens où je peux rester calme, même si vous jouez avec mes nerfs – même si j’essaie d’apprendre quelque chose à quelqu’un et qu’au bout de la troisième fois, il n’a toujours pas compris. Ma patience semble n’avoir aucune limite – et pourtant, si. Il faut éviter d’atteindre le point de non-retour, qui est très difficile à atteindre, sauf si j’ai une dent contre vous. Pourtant d’un naturel calme et réfléchit, si vous me cherchez trop et me provoquer, à l’instar d’essayer de toucher à mes proches, je suis capable d’exploser. Heureusement, ce phénomène reste vraiment rare… En revanche, je compense très bien mes journées où je ne fais rien ; lorsque je bouge, je ne fais pas semblant. J’aime courir, et j’aime plus encore voler (quoi de plus normal ?). Je suis vif, capable de répondre du tac au tac, un peu taquin parfois, mais toujours respectueux.

La diplomatie, je la pratique à tour de bras. Vous savez, il ne faut pas toujours foncer tête baissée, non. Il faut savoir être un peu… Hypocrite. Même si je n’aime pas mentir, étant plutôt sincère et préférant de loin la vérité, il me semble parfois nécessaire de ne pas tout dire. Nécessaire d’omettre. Qui n’a jamais léché les bottes de son patron ? Qui n’a jamais été d’accord avec quelqu’un pour éviter le conflit ? Bref, vous m’aurez compris : parfois, l’hypocrisie (plus connu et apprécié sous le doux nom de diplomatie) me semble nécessaire, quand bien même je n’aime pas mentir. Parce que, de mon côté, je n’aime pas déceler de l’hypocrisie, en particulier envers ma personne. Je suis assez fier, vous comprenez, assez sûr de moi. Et il peut m’arriver d’être susceptible… Je n’aime pas vraiment que l’on remette mes capacités ou mon éducation en cause, je peux facilement prendre la mouche là-dessus, et me montrer grognon. Ca ne dure jamais longtemps, ce n’est jamais bien méchant, mais… A moins que je ne sois dans un mauvais jour et qu’en plus je me montre borné, ça passe vite. Car borné, je le suis, mais en général, cela sert mes ambitions. Et je peux me raisonner… Sauf sur ma gourmandise. Quand je m’y mets, difficile de m’arrêter.

Je suis passionné. Et je peux le devenir très vite. La littérature – surtout classique –, l’archéologie… Mais, encore plus, le café, le thé, les tartes, le chocolat. Le sucre en général, bien que le café batte absolument tout. Les gens, la compagnie. Même en bruit de fond, même si je ne m’en occupe pas, juste sentir la présence de quelqu’un... C’est pour ça, aussi, que j’aime tant ma bibliothèque. Je suis entouré sans avoir besoin d’aller vers les personnes présentes. L’argent, un peu, l’or, plus – le luxe. Oh, je peux m’en passer, mais j’aime savoir que j’ai de quoi subvenir à quelques-unes de mes folles envies, si folle envie me prenait… Pour revenir à la culture et à la littérature, je suis capable de vous réciter quelques passages de grandes œuvres, surtout théâtrales… Ah, je suis excessivement doué en cuisine (et je crois que je peux le dire sans me vanter), j’ai toujours aimé cela, je m’y suis toujours intéressé, et j’ai des doigts en or.



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MessageSujet: Re: EADWIG   EADWIG EmptyMar 17 Mai - 15:35





Histoire

“Enfer chrétien, du feu. Enfer païen, du feu. Enfer mahométan, du feu. Enfer hindou, des flammes. A en croire les religions, Dieu est né rôtisseur.” - V. Hugo


Je suis né dans le manoir de la famille MacQueen, mon père étant le fier héritier de ce clan écossais. Manoir situé dans les Highlands, qui fut ainsi ma magnifique terre natale. Oh, j’en vis passer, des hivers froids, des printemps doux, et toujours ces paysages magnifiques. Je n’aurais pu rêver meilleur endroit pour naître, et grandir – surtout étant un jeune Phoenix ayant ainsi tout le loisir d’étendre ses ailes et de voler à peu près comme bon lui semblait. J’étais heureux, y’a pas à dire. Mon père, humain on ne peut plus banal, était au fait de notre « différence », à ma mère et moi, mais n’en a jamais rien dit à personne, gardant le secret de notre famille. Huit ans plus tard, nous comptions un nouveau membre parmi nous : Phoebe. Ma petite sœur – humaine. Moi qui me réjouissais d’avance de pouvoir voler avec elle, ma cadette n’a pas eu la chance d’être un Phoenix… Chose rare, pourtant, mais bien réelle. Mon père était heureux d’avoir un enfant qu’il verrait grandir en même temps qu’il vieillirait, selon un processus qu’il pensait « normal » (normal pour lui, humain), et nous ne voulions pas lui gâcher ce plaisir. Après tout, il était difficile pour ma mère de voir son mari vieillir, nous supposions qu’il devait être plus douloureux encore de se voir prendre des rides en sachant que sa femme ne mourrait que longtemps après lui…

Comme nous l’avions redouté, le bonheur a une fin. Si j’ai pu profiter de lui durant de longues années – une cinquantaine exactement – mon père s’est éteint à l’âge de 78 ans, lors d’un hiver trop dur pour cet Highlander pourtant résistant. Il eut les honneurs qu’il méritait et ma mère endeuillée, entre deux sanglots, regrettait qu’il n’ait point voulu qu’elle sacrifie une de ses vies pour lui. Je n’ai d’abord pas saisie le sens de ses paroles. Oh, je les avais bien entendu en parler, parfois, et mon père répondait toujours « Tu en auras plus besoin que moi, je suis heureux comme ça ». Ma mère avait sans doute voulu m’en préserver… Mais je me souviens pourtant du jour où, elle et moi, rentrions du village où nous avions acheté de quoi guérir Phoebe qui couvait une grippe. Nous nous étions décidé à passer à travers les bois, pour aller plus vite, quoi que ce fut un raccourcie douteux, et nous sommes tombées sur des Stryges… C’est là que, pour la première fois, je voyais un Phoenix mourir, et renaître. Et je comprenais les paroles de mon père alors que nous nous débarrassions de ces malotrus.

C’est cet incident qui me poussa hors du manoir. Je ne pouvais plus voir ma sœur vieillir en sachant que j’aurai pu l’aider. Que moi ou ma mère aurions pu lui offrir le Feu. J’ai fui ma culpabilité, déguisant cela en besoin de liberté, de prendre mon envol et de m’assumer pleinement, totalement. Je ne sais pas si ma mère y a cru, mais elle m’y a encouragé. Je voulais partir, loin, et mon choix se porta sur Ottawa, où s’était installée la Cour des Faës. Ayant toujours vécu plus ou moins en retrait des humains, mais n’ayant pourtant aucune aversion pour eux, j’ai d’abord appréhendé ma nouvelle vie. Heureusement, je ne partais pas de rien ; j’avais la richesse familiale pour subvenir à mes besoins, et quelques idées en tête. C’est ainsi que j’achetais une ancienne bibliothèque au cœur de la ville, faisant de l’appartement du dessus mon nid. Il ne fallut plusieurs années pour réunir tous les ouvrages que je voulais absolument posséder – de préférence, les plus vieux – tout en suivant la mode pour pouvoir attirer des gens. Mon insertion dans la société, humaine ou Faë, d’Ottawa ne se fit pas en deux jours, mais à présent que je suis bien installé… Je suis heureux de mon choix. Celui que nous n’avons pas fait vis-à-vis de Phoebe me hante toujours, mais j’y pense moins – beaucoup moins que si je l’avais toujours face à moi, avec ses 80 ans aujourd’hui, ses cheveux blancs, ses rides et sa force déclinante.

Un de ces jours, un hiver aura aussi raison d’elle…

Mais ici, avant ma sœur et ma mère loin, en Ecosse, j’ai d’autres problèmes – ou potentiels problèmes – à résoudre et surveiller. Comme les Stryges, par exemple… Car je doute fort que la paix dure.


Valentine alias Dukett
 :hi: Je sais pas troooop quoi vous dire moi ! A part que je suis rousse (sisi c'est très important), et que c'est Lulu qui m'a attiré iciiiii ♥ (au cas où vous ne l'auriez pas déjà remarqué *fuit*). Niveau fréquence de connexion... Très souvent, je pense o/ Je ne dirais pas "tous les jours" parce qu'il manquerai plus que, finalement, je ne puisse pas (parfois ça ne tient qu'à ça eh !), mais très très souvent. Puis je vous aime déjà, bande de fou au magnifique forum !!  :pant:  :hug:




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