Sujet: [FICHE] ▬ Billy F. de Kerangal Sam 20 Aoû - 17:23
feat John Barrowman
Billy Felix Willcotts
Carte d'Identité
Prénom(s) & Nom:
Billy F. Willcotts
Nom de code:
Void / The Traveler
Date & lieu de naissance:
8 Avril, année inconnue – London, United Kingdom, Great Britain.
Âge:
35 ans, selon ses dires.
Emploi/occupation:
Confrériste, patron d’un petit hôtel/restaurant de luxe à Manhattan.
Centres d'intérêts:
le sucre, les bonbons, les sucreries, SUCRE SUCRE SUCRE, le dessin, les voyages, la technologie, le temps, l’Univers, les armes, les belles choses, les glaces, la mer, les vagues, le surf, la plage…
Statut:
Célibataire
Groupe:
Mutants
Caractère
La première chose que l’on pourrait remarquer chez Billy, c’est sa jovialité, qui transparait beaucoup plus que son sérieux. Il aime la vie, malgré ce que la vie lui fait, et n’a pas peur de mourir. Il sait que, de toute façon… Sa vie est un peu un cercle infini. Quoi qu’il se passe, il va naître, certainement dans les années 2030 – voir plus tard –, va être envoyé dans les années 90, et va grandir. Mourir, naître. Ça ne lui fait pas peur, même si ce n’est pas réellement une renaissance puisqu’il n’a qu’une vie malgré tout, même si la machine infernale devait cesser. Il sait bien que le Continuum Temps est fragile, et qu’un rien pourrait modifier le futur. Et alors ? Sa joie de vivre naturelle le pousse à être un casse-cou fini. Ne le lancer pas dans des défis de fous, il risquerait de les relever (« Hey demain on a des vagues de 30 mètres, t’es pas capable de surfer sur celles-là ? » … Et le voilà parti avec sa planche. « Ce toit est trop loin du nôtre pour qu’on y saute, même pour toi. » Et il saute). Ce côté « je profite de ma vie à fond » le rend naturel, attendrissant. Pas superficiel pour deux sous.
On s’attache facilement à lui ; c’est une homme qui peut se montrer tout aussi intéressant que passionné pour ce qu’il entreprend. Quand il a une cause, il se donne à fond pour celle-ci ; et sa cause favorite, c’est la cause mutante. Son hôtel en plein cœur de Manhattan a d’ailleurs son dernier étage réservé aux mutants ; en particulier à la Confrérie. Malgré son côté casse-cou, Billy est une gars intelligent qui sait se servir de sa tête. Et il peut être aussi naturel dans la vie qu’il peut être bon comédien lorsqu’il œuvre pour ses confrères. C’est un géni, et c’est pour cela qu’il est le Voyageur. Il a un QI plus développé que la moyenne, et prend plaisir à gribouiller quelque invention qui pourrait bien être tout à fait viable. Calculateur et intéressé, ses « amitiés » ne sont pas toutes franches, comme il a pu le prouver lors de son infiltration au SHIELD. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il considère tout le monde comme des pions ; loin de là. Et même chez les « ennemis ». Il y a toujours des accidents des parcours, et Billy est quelqu’un de très, très, trèsprotecteur. Et possessif, aussi… Donc jaloux, par extension, quoi qu’il parvienne à maîtriser sa jalousie. L’homme est également quelqu’un qui peut se montrer infiniment romantique… Il sait s’adapter à tout genre de situation, de manière générale, s’il prend le temps de se servir de son QI… Ce qu’il devrait faire plus souvent.
Pouvoirs & capacités
A game of shadow and light :
▬ Billy peut jouer avec la réflexion de la lumière et la détourner de son corps, le rendant ainsi « invisible » aux yeux de ceux qui ne le cherche pas, ou qui ne savent pas qui ils cherchent. A bien y regarder, on pourrait s’apercevoir que, pourtant, quelque chose cloche ; comme lorsque la chaleur semble faire miroiter l’horizon, cette « invisibilité » n’est qu’un jeu d’ombre et de lumière et n’est pas parfaite. A force d’entraînements, Billy sera capable d’étendre cette mutation à un ou plusieurs objets, puis a une personne, un groupe…
▬ Il y a comme une Ombre qui s’étend sur l’esprit de Billy et qui semblerait le protéger, brouillant quiconque voudrait visiter ses pensées et souvenirs sans sa permission. C’est une chose qu’il ne contrôle pas et dont il n’a nullement conscience. C’est ce qui l’a sauvé lors de la Purge, mais cela rend impossible toute conversation télépathique même s’il est consentant. Sans qu’il ne le sache, c’est ce qui lui permettra, avec de l’entraînement, de se servir d’ « Ombre » comme attaque. La seule preuve de cette facette de sa mutation est l’impulsion – et, s’il se concentre, le contrôle – qu’il a sur ses flèches.
▬ A terme, Billy pourra se servir d’ombre comme « portail de téléportation », sur de courte (très courte même) distance. Pratique pour s’enfuir. Il lui faut cependant voir l’ombre d’arrivée avant de « plonger » dans l’ombre de départ. Vous ne passez pas par une porte si vous ne voyez pas la pièce en face, n’est-ce pas ; si la porte s’ouvre sur un mur, vous ne la franchissez pas ? Eh bien, c’est pareil ici ; il ne peut pas aller d’une ombre à une autre s’il ne voit pas les deux « portails » ; vous comprenez pourquoi il ne pourra se téléporter que sur de courtes distances. Billy ne connait pas encore cette capacité de sa mutation, et lorsqu’il contrôlera pleinement son pouvoir, il pourra ne plus se contenter de faire semblant d’être invisible, mais devenir une ombre sur une période plus ou moins courte…
L’abus de mutation est dangereux pour sa santé. Il risque de saigner du nez s’il s’amuse trop avec !
The Traveler :
▬ Billy est appelé (s’appelle et se fait appeler) le Voyageur, car il vient d’un futur relativement proche. Cobaye et victime des premiers tests de machine à voyager dans le temps, il avait 16 ans lorsqu’on décida de l’envoyer, lui et son génie, une semaine dans le futur. A la place, il est revenu en arrière de plusieurs années, atterrissant entre 1985 et 1995 (oui, il ne veut rien dire). S’il a d’abord été décontenancé, il a très vite su s’adapter et n’a jamais autant aimé la passion de son père pour les jeux. Il a aussi pu donner quelques coups de pouces dans les avancées technologiques (dans les années 80/90/2000), grâce à son QI plus élevé que la moyenne et – surtout – grâce à l’époque où il est né. Cependant, il est toujours resté anonyme ; bien souvent invisible, modifiant quelques choses sur des plans et des maquettes, pensant agir égoïstement pour un confort dont on l’avait accidentellement privé.
Derrière le masque, y a qui ?
Prénom/pseudo ♦ Dukett Âge ♦ 19 piges dans 10 jours o/ Scénario ou inventé ♦ Inventé Comment as-tu atterri ici ♦ :face : Fréquence de connexion ♦ Autant que possible ♥ Remarque(s) ♦ :amour: Code règlement ♦ :21:
Dernière édition par Billy F. de Kerangal le Sam 20 Aoû - 17:42, édité 1 fois
Billy F. de Kerangal
Messages : 200 Date d'inscription : 13/06/2012
Sujet: Re: [FICHE] ▬ Billy F. de Kerangal Sam 20 Aoû - 17:26
Approuvez-vous le nouveau gouvernement ? (Votre personnage ne sait pas forcément que Liesmith est Loki)
Si j’approuve le nouveau gouvernement ? Oui. Bien sûr. Il a mis fin à cette aberration qu’était la Purge, et sa secrétaire est une mutante. Que demander de plus ? Il y a certainement à redire. Et j’aimerai un futur radieux pour les Homo Superior. Pas forcément que nous dominions le monde – les Humains sont très forts quand il s’agit de détruire ce qui est censé leur être supérieur. Au moins un monde d’entente. De toute façon, je sais à quoi ressemble le futur proche. N’insistez pas, je ne dirais rien !
Pensez-vous que le "problème Mutant" soit résolu ?
Le… Problème mutant ? Je rêve ou vous avez dit le PROBLEME MUTANT ? JE… Je… Désolé. Les mutants ne sont PAS un problème, les mutants ne seront JAMAIS un problème ! Nous sommes l’espèce humaine, en plus évoluée, comme cela s’est toujours produit depuis le début. Je ne vois pas ce qui vous dérange… Les Hommes ont peur du changement, et nous sommes le changement, mais un changement positif !... Je devrais la noter, celle-là.
Pensez-vous que nous soyons seuls dans l'univers ?
Nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Si vous veniez d’où je viens, vous le sauriez… Ce n’est un secret pour personne. Roswell ? Si vous fouillez dans les archives du gouvernement, vous trouverez la preuve de l’existence des Extra-Terrestres. Par contre, si vous me demandez si les « Men in Black » existent, là, je ne saurais pas vous répondre.
Votre histoire
Billy est né dans une famille londonienne des années 2060, tout ce qu’il y a de plus normal, et avec assez d’argent pour se permettre d’avoir des loisirs, disons, spéciaux pour l’époque. Comme faire du surf sur les côtes Atlantiques de la France, pour sa part. Sa mère préférait s’adonner à la cuisine – la vraie cuisine, avec de vrai livre. Quant à son père, il s’était pris d’une insensé passion pour tous les grands jeux passés, ces jeux où vous pouviez miser de l’argent à des époques reculés, et il entretenait régulièrement son fils à ce sujet. Billy, lui, se moquait éperdument des jeux de son père. Quand il ne surfait pas – car il ne fallait pas abuser des bonnes choses, et il ne pouvait pratiquer souvent – il passait son temps à assouvir sa curiosité naturelle en lisant (virtuellement, j’entends, pas les livres de sa mère… Quoi que parfois…), à dessiner, que ce soit des choses tout droit sorties de son imagination ou bien des plans de machines. Souvent, ses plans n’étaient pas trop faux – son QI s’est avéré supérieur à la moyenne… Mais si seulement il s’en servait en cours !
Mais non. Billy n’était pas destiné à être le premier de sa section, quoi qu’en dise les adultes. Lui, ce qu’il voulait, c’était être un voyageur. Un voyageur interstellaire. S’il avait cru qu’il serait un voyageur temporel !... N’empêche qu’il n’a pas hésité une seule seconde à postuler. Postuler pour ? Mais pour servir de cobaye au voyage dans le temps, évidemment ! Au vu de son magnifique CV, si on oubliait ses notes très moyennes, on n’hésita pas longtemps avant de lui faire suivre un entraînement strict et un régime tout aussi barbant, jusqu’à ce qu’il soit prêt… Ou jusqu’à ce que la machine soit prête, tout dépend de votre point de vue. L’objectif était simple : on l’expédiait une semaine dans le futur. Ni plus, ni moins. On le réceptionnait à l’arrivé, il était couvert de gloire ! La machine s’ouvrit sur… Sur… Sur quoi ? Une décharge ? Qu’est-ce que c’était ? Il ne savait pas. Le pauvre adolescent de 16 ans sorti, décontenancé, perdu. Maman, papa, quelqu’un ? Juste un chat qui filait en crachant, les poils hérissés.
Il avait d’abord paru pour fou, à demander la date. L’année, même. Avec ses vêtements sortis d’une autre époque. Pour tout avouer, on crut sans doute qu’il venait d’un autre monde... Fusse-t-il simplement aliéné. C’est également dès cette époque qu’il prit contact avec ses confrères mutants. En fait, il ne sait pas trop comment tout cela est arrivé ; mais depuis, il ne les a plus quitté. De fil en aiguille, d’années en années, il a réussi à s’adapter à sa nouvelle vie, assez facilement. Mes ses parents lui manquent, dans le fond, et il n’ose imaginer l’état dans lequel ils doivent se trouver. Billy préfère se dire que la semaine suivant son voyage, là où il aurait dû réapparaître, ne s’est pas encore produite, et ne se produira jamais sans son retour.
Il apprit les bases de ce « monde », et se servit des vagues souvenir qu’il avait de la passion pour les jeux de son géniteur pour se faire un peu d’argent. Voir, pas mal d’argent, qu’il plaça ensuite pour qu’il « fasse des bébés ». Cela porta ses fruits, car Billy racheta un immeuble, qu’il rénova avec quelques camarades mutants. Le but était simple : en fait un hôtel huppé, luxueux, cher, et qui pourrait assurer un lieu de refuge pour les mutants. Il fallut quelques années avant que le projet n’aboutisse, mais aujourd’hui, le résultat et là : un bel hôtel de quatre étages, comportant pour les deux premiers une dizaine de grande chambre, pour le troisième cinq suite de luxe. Le dernier était réservé à la Confrérie. Le rez-de-chaussé vous faisait immédiatement plonger dans l’environnement faste du luxe et des grands de ce monde ; spatieux, il offrait tout de même une piscine intérieure un petit patio, ainsi qu’un bar/restaurant. Enfin, le sous-sol offrait un large garage où s’entassait des voitures plus belles et rutilantes les unes que les autres, et quelque entrepôt. C’était la réussite de sa vie, sa fierté, et Billy ricanait en pensant aux résultats de sa section, et en se disant que même les meilleurs ne parviendraient sans doute pas là où il était arrivé.
Billy eu rarement peur – oui du moins, il ne le montra que rarement. Par contre, l’attaque des Chitauris… Oui, là, l’homme du futur fut terrifié. Il n’a pas été surpris en soi (des aliens, ça vous étonne vous ?), mais il a eu peur pour sa vie. Dans ce monde en retard, il manquait cruellement d’armes… D’armes fiables, puissantes et, surtout, utiles. Désarmé face à ces monstres, il n’a rien fait de mieux que se planquer et prier de ne pas mourir si tôt. Et la première chose qu’il a fait, après que tout cela soit terminé, c’est s’empiffrer de sucre. En voilà une chose qu’il regretterait s’il rentrait un jour chez lui ; toutes les pâtisseries, confiseries, sucreries de cette époque, de cette ligne temporelle.
Mais quelque chose de bien pire que quelques extra-terrestres devaient frapper leur monde ; la Grande Purge. Les Hommes contre les Mutants. Féru d’histoire depuis son arrivé ici, il ne put que faire le parallèle entre l’époque Nazi chez lui et ce qui se passait ici. Il regrettait aussi amèrement de n’avoir pas plus prêté attention aux cours d’Histoire de sa section – ils avaient certainement parlé de cette Purge… Non ? Surtout que, bon, il était dans une section mutante ! Impossible de rafraichir ces souvenirs à sa mémoire, aussi avançait-il dans cette désolation comme vers l’inconnu. Et Billy ne resta pas les bras croiser, inactif, à attendre que ça se passe, non. Il avait sa mutation, et il comptait bien s’en servir. Il réussit ainsi à infiltrer le SHIELD (oh pas longtemps, quelques jours…), et cela lui suffit à sauver quelques-uns de ses camarades. Il ne sut jamais qu’une partie défensive de sa mutation lui procurait une protection infaillible contre toute tentative d’intrusion dans son esprit, et cela le sauva à mainte reprise. Il décida par la suite de ne pas abuser des bonnes choses ; oui il était prêt à mourir pour sa cause, non il ne serait plus utile s’il était mort. Ainsi, le dernier étage se transforma en véritable refuge pour mutant, jusqu’à la fin de la Purge, tandis que les autres étages étaient occupés par, parfois, quelque politique donnant la nausée à Billy, qui aurait mille fois mieux voulu les voir morts qu’en face de lui.
Le gouvernement est aujourd’hui tombé, et un certain John Liesmith en a pris la tête. Cette nouvelle présidence plaît pas trop mal à Billy ; et si le président reste assez mystérieux, le fait que la Première Dame soit une mutante le rassure sur l’avenir ; il estime que si une nouvelle Purge se déclarait, eh bien… C’est qu’il y a une séparation houleuse au sommet.