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 [FICHE + LIENS] ▬ Edwardian A. Cameron •• Ad vitam æternam...

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Dukett
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Dukett


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MessageSujet: [FICHE + LIENS] ▬ Edwardian A. Cameron •• Ad vitam æternam...   [FICHE + LIENS] ▬ Edwardian A. Cameron •• Ad vitam æternam... EmptyVen 16 Sep - 17:55

Edwardian Altaïr Cameron
Aonaibh Ri Chéile – Let Us Unite

Nom de famille :
Cameron
Prénoms :
Edwardian, Altaïr

Age :
32 ans
Date et lieu de naissance :
8 Novembre 1983
Qualité du sang :
Sang-Mêlé
Orientation sexuelle :
Homosexuel
Situation amoureuse :
Célibataire

Avatar :
Adam Gallagher


Ma maison était


Gryffondor

Professeur d'étude de la médecine magique moderne

Baguette Magique :
Bois de Cèdre, plume de phénix, d'une flexibilité surprenante, trente centimètres et demi.
Balai :
Comète 290
Animal de compagnie :
Une chouette effraie, nommée Lex.

Épouvantard :
Un loup noir géant
Riddikulus :
Un loup rose à paillette

Patronus :
Mésange
Réaction à la disparition de Layton :
Je me suis inquiété, bien évidemment. Une disparition comme ça, c'est loin d'être banale... Surtout quand on ne le retrouve pas, du tout. J'aimerai pouvoir être utile et retrouver Layton mais... Je ne sais pas trop ce que je peux faire, à part attendre et espérer qu'on le retrouve... En vie. Et en un seul morceau.
Enchantement préféré :
Avis - c'est mignon les oiseaux. J'adore les oiseaux !
Années de scolarité :
Douze ans. Je suis resté douze ans entre les murs de Poudlard, tantôt à faire le fanfaron et tantôt à raser les murs. Cela valait peut-être mieux pour moi, après tout ; je m'en suis plutôt bien sorti.
Parcours professionnel :
Avant, je me voyais joueur de Quidditch professionnel. Si si ! Mais beaucoup de choses ont changé depuis l'insouciance de mes premières années à Poudlard ; plus assidu, plus concerné, c'est vers la médicomagie que je me tournais. Entièrement. Mais loin de vouloir pratiquer - j'avais peur de m'emmêler les pinceaux, pour ainsi dire - c'est dans l'enseignement que j'ai trouvé ma voie.
Vox lui parvient sous la voix de :
Alice, ma grande soeur, qui vit actuellement en Roumanie. Elle élève les Dragons mais, durant ma convalescence, elle a toujours été là pour moi, à mes côtés. Et je sais que je pourrais toujours compter sur elle... Quoi que ce soit assez troublant que Vox me parvienne sous sa voix, tout en sachant que si je lui envoie une lettre lui appelant au secours elle serait prête à débarquer dans l'heure.
Rôle pendant la guerre :
Je n'ai pas été... Très brillant. Je n'ai pas été un héros. J'étais juste un jeune homme fougueux qui voulait être un héros, et qui s'est lamentablement brûlé les ailes en volant trop près du soleil - ou qui s'est fait lamentablement mordre par un loup-garou et a perdu connaissance durant la Bataille de Poudlard. Résultat d'une année raté à tenter d'être quelqu'un, quelque chose, mais pas moi. Je ne sais pas à qui je dois la vie, mais... Je remercie mon sauveur, quoi que je puisse en penser lorsque la pleine lune approche...


Son caractère
Impétueux, fanfaron, passionné, fougueux – autant d’adjectif pour qualifier le Gryffondor que j’étais. J’avais ce qu’on pourrait appeler le « sens de la fête » et, comme ma mère, j’étais très ouvert – aux idées, aux gens, aux rencontres. Bref, au monde. J’étais aussi tête brûlée, et déterminé – le premier à me jeter dans les ennuies jusqu’au cou, mais aussi le premier à en sortir, bien souvent. Courageux, mais pas spécialement téméraire – tout dépendait du « terrain ». Elève moyen, je travaillais ce qu’il fallait pour avoir mon année, mais je ne faisais pas trop d’effort non plus – à quoi cela pouvait-il bien servir, hormis grignoter sur le temps que j’avais pour m’amuser ? Evidemment, vous vous en doutez, le passé employé dans ma première phrase signifie que ce n’est plus le cas ; alors, pas vraiment la peine de s’attarder là-dessus, n’est-ce pas ? Il y a des constantes, évidemment, et ce que je viens de dépeindre n’est pas tout ce que j’étais avant que je ne me fasse mordre par un loup-garou. Heureusement. Parmi ce qui n’a pas changé, je dirai… Mon ouverture d’esprit. Sauf sur moi-même, je ne suis pas vraiment objectif sur ma condition, je me vois comme un monstre – et j’ai perdu beaucoup de ma confiance en moi. Adieu le jeune Cameron paradant dans les couloirs. Mais je ne vais pas non plus vous raconter l’état d’abattement dans lequel j’étais pendant que je peiné à sortir la tête du trou ; je vais vous dire ce que je suis, à l’instant présent.

Quelqu’un de plus réservé, déjà. Je ne pense pas pouvoir un jour retrouver l’exubérance de mes jeunes années, ni la pleine confiance en moi que je possédais alors. Ce qui n’est peut-être pas plus mal, au fond – assidu, je le suis devenu, et c’est ce qui m’a permis de ne pas sombrer purement et simplement. Je peux y reconnaître quelque trace de mon ancienne détermination et ambition, même si celles-ci ne cherchent pas spécialement à me propulser bien haut. Mais être réservé n’a pas que de bons côtés. Je vais moins vers les gens qu’avant ; je me confie moins, aussi. Car je crains les jugements que l’on pourrait me porter à cause de ma condition de loup-garou, et non pas pour ce que je suis ; une fois m’a suffi. Mais je ne suis pas dégoûté de l’espèce humaine pour autant – je suis toujours l’oreille attentive prête à recueillir vos paroles, quand vous voulez, au sujet que vous voulez. Je reste optimiste lorsqu’il s’agit des relations sociales, ce qui m’amène souvent à souffrir mes illusions. En revanche, ceux que je considère comme mes vrais amis, ou ceux qui me sont les plus proches, n’auront jamais à souffrir d’une quelconque infidélité. Je suis droit et constant sur ce point ; je les aime elles, souvent plus que moi-même, et est capable de me « changer » en dragon pour les défendre. Ma loyauté pour qui et/ou quoi que ce soit n’est pas à remettre en doute. Tout comme ma patience, dûment acquise. Oh, je ne suis pas non plus une statue de marbre ! Mais il est relativement difficile de me faire sortir de mes gonds…

Ah. Je me dois de vous prévenir que je ne suis pas plus courageux qu’avant, au contraire – du moins, je ne crois pas. Quand une situation imprévue me tombe dessus, je fais généralement l’autruche, ou je tente de fuir, d’esquiver. Mon manque de confiance en moi devient flagrant dans ces moment-là, d’autant plus que je perds plus ou moins le contrôle de moi-même et devient alors vraiment expressif. Je veux dire, je suis d’un naturel expressif, mais j’arrive parfois à me contrôler pour faire croire que tout va bien quand ça va mal. Notamment quand la pleine lune approche, et mes crises de panique avec.

Heureusement, « vieillir » m’a permis d’aller de l’avant. Un peu. Je suis persévérant, et je parviens à me détendre, un peu. Beaucoup. Tout dépend des personnes et de la situation, en fait ; mais j’apparais souvent comme quelqu’un d’assez timide. Il faut dire que je ne me livre pas souvent sur moi-même, ce qui peut me faire passer pour mystérieux, voire prétentieux, alors que pas du tout. J’ai une force de caractère – ou de mental – qui me permet aujourd’hui d’encaisser beaucoup de chose, que j’essaie d’expier en écrivant. Je pardonne également facilement… Ce qui n’est pas toujours une bonne chose. Ce n’est pas pour autant que je me laisse marcher sur les pieds et écraser ! Je sais faire preuve d’autorité, et il ne sera pas dit que je sois lâche. Peut-être un peu diplomate ; pas assez franc, mais il ne s’agit pas là de sournoiserie. Disons simplement qu’avec ce qui m’est arrivé et là où j’en suis passé, eh bien… On apprend à faire des choix. Et ce n’est pas parce que je ne serais pas le plus bavard que je serais maussade, voire triste, pour autant. Ma phase de dépression est derrière moi, et… Je compte bien continuer à aller de l’avant.



Sa vie
Assis près de la fenêtre de la chambre que j’occupe à Poudlard, j’observe le ciel. Clair, sans nuage, une lune qui décroit. Mon air fatigué trahirait ce qui m’arrive chaque soir de pleine lune depuis presque vingt ans, ce qui me poursuivra ad vitam aeternam, ce qui m’est arrivé il y a quelques jours. Heureusement, la potion Tue-Loup fait son effet ; mais cela n’en reste pas moins fatiguant. Et épouvantable. Est-ce que vous pouvez imaginer quelques secondes ce qu’apercevoir mon reflet, dans ces moment-là, me renvoie en pleine face ? Un monstre. C’est ce que je suis devenu, ce que je serais toujours. Un virage raté dans une vie qui s’annonçait si bien. Je n’avais rien à me reprocher, à part d’être (peut-être) un Gryffondor un peu trop fougueux. Ma mère était une moldue, très ouverte d’esprit, et mon père était le sorcier. Ce n’était pas forcément lui qui portait la culotte pour autant, d’ailleurs ; mes parents ont toujours été complémentaires, ce que je trouve magnifique. Mais ma mère préférait éviter tout débordement magique de n’importe quelle nature, peu importe si le clan Cameron avait une belle demeure perdue dans les Highlands, et je n’ai dû que me contenter de livre jusqu’à entrer à Poudlard.

Je fus admis à Gryffondor – mon père en sautait de joie, ma sœur aussi, ma mère aurait préféré « un intellectuel », comme elle le disait en riant, plutôt qu’une autre tête brûlé. Un grand moment dans la vie d’un gamin comme moi que celui de la Répartition – et j’étais tellement excité que j’ai failli reposer le pauvre Choixpeau à côté de son tabouret. Poudlard fut une révélation pour moi, et je fus pris de passion pour le vol sur balais, et pour le Quidditch – et j’attendais avec tellement d’impatience de pouvoir en faire, moi aussi. Les quatre premières années à Poudlard – pour autant que je m’en souvienne – furent les plus belles de ma vie, à peu de chose près. Bah quoi, c’est qu’il s’en est passé, des choses, et pas toujours des bonnes, à Poudlard… Des évènements étranges, pas très rassurant. Bon, la quatrième année fut… Plus mouvementée, disons. Avec les Mangemorts… J’ai essayé d’être courageux. Vraiment. Moi aussi, j’aurai voulu m’interposer, faire quelque chose de digne de moi-même et de ma Maison, mais… Il y eut la Bataille de Poudlard. La boucle bouclée ; la mort de Dumbledore, puis ça. J’allais pouvoir faire mes preuves, défendre mes camarades, me battre avec l’ardeur du désespoir ! Marquer l’Histoire de mon nom ! Non, vraiment, non, la seule chose que j’ai réussi à faire, c’est imiter Icare et brûler mes ailes immaculé d’innocence et de détermination.

Mes yeux se baissent sur Lex, ma chouette effraie qui est posée à côté de moi. Je frémis, et tend la main pour glisser mes doigts dans ses plumes ; mauvais souvenir. Je ne m’en souviens pas, quelques flash à peine, et c’est peut-être ça le plus terrible. Je me souviens juste que quelque chose a bondit sur moi, me projetant contre un mur – je me souviens de mon corps qui trouve le sol, puis… J’aimerai pouvoir dire que je me suis évanouie quand la Bête m’a mordue, mais même pas. La peur, le choc, mon esprit a clairement dit « NOPE, OUBLIE, C’EST PAS VRAI » et j’ai perdu connaissance. Je me suis réveillé à Sainte Mangouste, j’avais presque quatorze ans – eh oui, je suis de fin d’année. Je serai presque resté un mois dans cet état, et j’avais eu énormément de chance que quelqu’un fasse fuir mon agresseur avant qu’il ne me dévore... Je me souviens des douces paroles de ma sœur, à mon chevet, chaque jour, chaque nuit. J’ai repris connaissance en même temps que ma première transformation – et bon dieu, j’ai souffert. On m’avait injecté la potion Tue-Loup pour éviter tout accident, mais ça n’a rien enlevé à ce que j’étais devenu. Un monstre. J’ai même pensé à écourter mes jours – et il m’arrive d’y penser encore, parfois, bien que cela soit devenu bien plus rare.

Par la suite, j’ai repris les études, évidemment. Mais je n’étais plus le Gryffondor fanfaron, assuré et assumé que j’avais été auparavant. Je ne voulais plus entendre parler de Quidditch, j’optais pour un balai soi-disant moins rapide, sur lequel je ne montais finalement qu’en cas de grande nécessité… Je me plongeais dans les études, me coupais du monde. Ce fut comme ça que je terminais mon premier cycle à Poudlard, et que j’obtiens de très bons résultats, quoi que je ne me reconnaisse plus, que mes amis ne me reconnaissent plus, que ma famille ne me reconnaisse plus. J’avais l’impression que la monstruosité que j’étais devenu collait à ma peau, qu’on pouvait le deviner d’un simple coup d’œil, comme s’il y avait écrit « ATTENTION LOUP-GAROU » au marqueur noir sur mon front albâtre. Parce que le pire, dans tout ça, c’était les regards appuyés. Bien sûr qu’on avait entendu parler du fait que j’avais passé un mois à Sainte Mangouste. On ne savait pas pourquoi, mais j’avais l’impression que le regard de chacun pesait sur moi et semblait me murmurer que je n’étais qu’un monstre. Mais vous savez ce qu’est le pire, dans tout ça ? Quand ils viennent me demander, innocemment, si je vais bien, et ce qui m’est arrivé. Je les fixais, sentant la panique monter en moi. Je ne savais pas quoi répondre – et je ne savais pas ce qui m’était arrivé. Je n’en connaissais – et en subissais – que les conséquences. Ma mémoire me faisait défaut, et cela ne m’aidait pas à aller mieux…

Pourtant, j’ai dû faire avec. C’était ce que j’étais, je ne pouvais pas revenir en arrière – pourtant j’aurai tellement aimé. J’ai fini par reprendre plus ou moins confiance en moi, à force d’avancer. A croire que ma détermination ne m’avait pas totalement quittée. Si j’ai fini par remonter la pente, je ne suis jamais redevenu celui que j’étais avant. Parfois, pour essayer de rassurer ma famille, je regardais ma mère et lui disais : « Tu vois, tu l’as eu, ton intellectuel ! ». Ah, certes, elle l’avait eu, mais je voyais bien à la lueur peiné de son regard qu’elle aurait préféré l’avoir dès la naissance, et non suite à un fâcheux évènement. Ma sœur, elle, avait toujours le mot pour me faire sourire. Alice a été un soutient essentiel – elle a rapidement compris que la peine et la pitié ne faisait que m’enfoncer, et a continué de se comporter avec moi comme elle l’avait toujours fait, sans me ménager. Mon petit-ami de l’époque ne cessait de me répéter qu’avec la potion Tue-Loup, tout se passerait bien, je n’avais pas à avoir peur. Puis un soir, pas le bon soir, il est venu me voir, et il a eu peur. J’ai eu le droit à une longue explication sur les raisons pour lesquelles nous ne pouvions plus être ensemble, et… C’était terminé.

Ce fut un nouveau coup dur pour moi, je ne peux pas le cacher. Il avait fait renaître l’espoir en moi, j’étais heureux. Alexander – de son prénom – avait toujours cru en les bienfaits de la potion, pour moi, et plus que moi. Alors le voir reculer et fuir face à la réalité, à ce que j’étais… Comment ne pas replonger ? Comment ne pas désespérer à nouveau, ne pas baisser les bras, ne pas penser que – peut-être – il était temps de rêver sans jamais plus se réveiller ? Mais j’ai fait ce que j’avais appris à faire lorsque tout allait mal ; je me plongeais dans mes lectures. Et j’arrivais à feindre d’aller parfaitement bien lorsque la pleine lune approchait, alors qu’en mon for intérieur, j’étais paniqué. Paniqué à l’idée de ce qui arrivait, à l’idée d’avoir oublié de prendre ma potion – il m’arrivait de ne pas réussir à dormir de la nuit. Ce qui était – je ne vous le cache pas – assez éprouvant. Paniqué à l’idée de faire peur à tous ceux que j’aimais. Paniqué à l’idée de me retrouver seul, pour toujours, à jamais. Il m’aura fallu presque cinq ans pour franchir le pas, si je compte bien. Cinq ans avant de retrouver un semblant de ce qu’on appelait « le plus bel âge de la vie », et de goûter aux menus plaisirs de la jeunesse… Quoi qu’avec une certaine retenu. Je ne voulais pas que l’on découvre mon « honteux » secret…

J’ai fini par penser à autre chose que « travailler » et « loup-garou ». Oh, j’y pensais ! Surtout au deuxième. Mais je parvenais à aller au-delà. Je parvenais enfin à remonter sur un balais – sans en abuser non plus, pour quelques promenades de plaisances, dirons-nous… Ce qui désespérait un peu Alice, qui ne cessait de me taquiner à ce propos. Peu m’importait. Je me remettais à rire, je me sentais revivre. Je n’étais pas le seul de ma condition, après tout, et d’autre était beaucoup plus mal lotie que moi. Ma force de caractère, qui s’était toute essoufflée (ou tout comme) durant ma longue dépression, m’avait certainement aidé à ne jamais totalement baisser les bras et, peut-être, ais-je mieux réussi que je ne l’aurais jamais pu, me raccrochant à ce qui seul pourrait me sauver ; les études, la médicomagie. J’ai réussi, dans la vie, sur le plan professionnel ; et si je refusais de devenir médicomage (il ne manquerait plus qu’un jour je me rate pour réellement me faire sauter la cervelle, je pense) je me tournais vers l’enseignement. Cela me semblait infiniment plus approprié. Je retrouvais alors les murs rassurant de Poudlard… Observait avec crainte et curiosité, parfois, l’endroit où ma malédiction serait née. Je ne me souvenais de rien – rien du tout. Je n’arrivais pas à avoir peur… Et tant mieux, en un sens.

Vous pensiez que Poudlard était une école de tout repos ? Jamais. Jamais, je vous dis, vous ne trouverez une école plus mouvementée que celle-là (et pas de la meilleure des façons). Je veux dire, ça a commencé avec ces disparitions de fantômes ; personne n’a compris. Où étaient-ils passé, pourquoi ? Seuls la Dame Sans Nom et Peeves restèrent. Oh mais si ce n’était que ça ! Il y a eu ces étranges drames, ensuite. Et Vox. Je ne vous raconte pas l’étonnement soudain qui me prit lorsque j’entendis la voix d’Alice qui, pourtant, était loin d’être là. Et la dernière… La disparition de Layton. Je n’ai rien vu venir… Mais personne ne l’a vu venir. J’ai pensé à une farce, au départ – puis les heures tournaient, on ne le retrouvait pas, et la panique à commencer à pointer le bout de son nez. Il avait disparu, purement et simplement. Envolé. Les Aurors ont débarqué, mais les recherches n’ont pas abouti. Le succès n’était pas au rendez-vous, et je ne vous raconte pas le climat qu’il y a actuellement à Poudlard… Cela ne m’aide pas à rester calme – parce que, d’abord, je me faisais un sang d’encre pour ce pauvre gamin. Ensuite, parce que… Vous savez, avec le couvre-feu, et tout ce bazar, et ma condition ? Oui, j’ai la potion Tue-Loup, mais… Je dois l’avouer, j’ai un peu peur. De l’oublier. De perdre le contrôle. On ne sait jamais ce qui peut arriver…



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Dukett
Age :
20 ans
Région :
Grande Aquitaine !
Sexe :
Female, bitch

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MessageSujet: Re: [FICHE + LIENS] ▬ Edwardian A. Cameron •• Ad vitam æternam...   [FICHE + LIENS] ▬ Edwardian A. Cameron •• Ad vitam æternam... EmptyVen 16 Sep - 18:03



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Edwardian Altaïr

32 ans - Prof de médicomagie moderne - Loup Garou
Cameron

• Homosexuel assumé
• Ancien gryffondor
• Accroc au chocolat
• Ecrit pour se décharger "émotionnellement"
Réservé ▬ Assidu ▬ Attentif ▬ Patient ▬ Aimant ▬ Loyal ▬ Dévoué ▬ Romantique ▬ Calme ▬ Persévérant ▬ Assez timide ▬ Diplomate ▬ Optimiste ▬ A du mal à se confier ▬ Craint le jugement des autres ▬ Se voit comme un monstre ▬ Capable de devenir violent si on s'en prend à ceux qu'il aime ▬ Pardonne (trop) facilement mais ne se laisse pas marcher sur les pieds pour autant


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