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 [FICHE] ▬ Jim H. Lumberjack •• Va, je ne te hais point.

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Dukett
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Dukett


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MessageSujet: [FICHE] ▬ Jim H. Lumberjack •• Va, je ne te hais point.   [FICHE] ▬ Jim H. Lumberjack •• Va, je ne te hais point. EmptyVen 16 Sep - 0:51


Jim Hyppolite Lumberjack
Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombres des années

ft. Boyd Holbrook
# type : Inventé
# nom : Lumberjack
# prénoms : Jim, Hyppolite
# surnoms : Jimbo, drama queen, gay-guy…
# age & date de naissance : 26 Février
# lieu de naissance : Vancouver
# race : Humain
# groupe : Humain
# situation maritale : Célibataire
# profession : Chasseur, acteur/comédien à ses heures…
# orientation sexuelle : Le beau.
# autres informations : Orphelin depuis peu, dernier membre vivant de la famille Lumberjack avec Ariane (sa cousine), a un pied-à-terre à San Francisco, aime profondément tout ce qu’il chasse, bipolaire sur les bords.
# anecdote 1 : Ariane, sa cousine et son aînée, adore l’appelait Jimbo ou lui lancer des sous-entendus sur ce qu’elle pense être son orientation sexuel (manque de chance, il n’en a pas), et ça a le don de l’insupporter. Surtout quand elle lui dit qu’il ne faut pas rêver, qu’il n’aura jamais sa chance avec Robert Downey Junior, Jude Law, ou les deux en même temps (oui, elle est terrible).


# anecdote 2 : Canadien et fier de l’être, il adore le sirop d’érable, à tel point qu’il pourrait le boire comme ça, sans rien. Y’en a bien qui siffle des bouteilles de Whisky et on leur dit rien, alors pourquoi pas ça ?


# anecdote 3 : Jim adore les vieux vêtements, de type médiéval (européen, donc), ou tous ces costumes d’époque… Mais il porte généralement des habits bien serrés, qui collent au corps sans entraver ses mouvements. De plus, la dague qui pend toujours à son côté sans qu’il ne prenne la peine de cacher son fourreau tende à créer un tableau relativement excentrique ; il a toujours eu l’habitude de s’habiller de cette façon (la dague en moins) et c’est ce qu’il lui a valu les moqueries (plus ou moins méchantes) de sa famille, notamment avec ce magnifique jeu de sonorité qu’est « gay-guy ». Eh oui, merci la famille.


# anecdote 4 : ici votre anecdote.

# anecdote 5 : ici votre anecdote.


le caractère
# qualités & défauts : Jim est un garçon pour le moins… Spécial. On peut le dire. Mais il n’en reste pas moins attachant et inoffensif (enfin, façon de parler). La première chose qui pourrait paraître étrange chez ses collègues Chasseurs, c’est son amour pour ses proies, justement. Le Surnaturel est devenu sa maîtresse, cette Veuve Noire qu’il lui faut embrasser, puis tuer pour ne pas mourir. Sa passion pour son métier et, malgré tout, ce recul de lui-même surtout en présence de sa cousine. Il est victime d’un certain complexe d’infériorité en sa présence, malgré tout l’attachement qu’il a pour elle. Car le jeune homme a quelque chose de narcissique, une sorte d’instinct de survie exacerbé mais pas développé exactement comme il le faudrait, qui le pousse parfois (pour son « propre bien ») à s’éloigner de ceux qu’il aime. En particulier lorsqu’ils commencent à vouloir l’enchaîner dans des cases toutes faites, dans ces stéréotypes de la société.

Car Jim n’entre pas dans une case bien défini ; c’est un excentrique, doublé d’un émotif sentimental qui peut vous jouer toute une palette d’émotion en oubliant d’être impassible. Il est facile de lire en lui comme dans un livre ouvert. Mais imaginez plutôt un livre ouvert avec toutes les informations capitales en lettres épaisses et rouges, se démarquant très nettement du reste. Car il est tout en exagération, théâtrale en bien des manières, véritable drama queen (héros tragiques, pardons) à ses heures. Ses airs maniérés lui ont d’ailleurs déjà valu bien des préjugés, mais il a appris à passer outre ou, du moins à faire comme si cela ne l’atteignait pas. Pourtant, il est très (trop) attaché au regard que les autres ont de lui. Comme un représentation théâtrale ne vit pas sans son publique, il a du mal à surmonter les critiques et à tendance à se rabaisser lui-même, amplifiant certainement ce qu’on lui reproche.

Car il fait de son mieux pour se montrer utile et agréable. Pour ce qui est d’être agréable, ce n’étais pas le plus difficile. Bon, parfois, il est vrai qu’il peut être difficile de supporter ses crises de drama-queenisme aigue. Mais s’il voit que cela vous agace, il se réfrènera. Hormis ça, il est plutôt agréable. Plus pessimiste qu’optimiste, plus nostalgique que visionnaire, il n’en reste pas moins un jeune homme souriant qui sait profiter de sa vie. Malgré sa grande maladresse, ses sous-entendus balancés de façon totalement innocente (il est généralement le dernier à s’en rendre compte)… C’est ce qui compose son charme, en quelque sorte. Il est également très attentionné – ça compense – et le lion n’hésite pas à chasser le chat paresseux pour rugir et montrer les crocs à qui voudrait toucher une plume un poil des personnes auxquelles il tient. D’une nature courageuse, mais pas téméraire, plus prudent que brave, il n’hésitera pas à balancer à la poubelle tous ses grands principes pour sauver l’une de ces personnes.

Mais Jim peut également être une vraie teigne. Du genre à faire une crise et à bouder comme un gamin, parfois d’un coup, sans faire gaffe. Il a une légère tendance à la bipolarité, qui peut excuser ces crises (heureusement très rare), et qui peut le faire passer de la joie la plus profonde à la nostalgie la plus extrême.



les descriptifs
# armes : Jim porte toujours sur lui – TOUJOURS – une dague en argent. Il ne s’en sépare qu’en de rare occasion (soit lorsqu’il est nu, qu’il se lave, qu’il dort… quoi qu’elle ne soit jamais rien). Il l’a trouvé parmi quelque antiquité, et elle lui a immédiatement plu, et le fait qu’elle soit en argent, finement gravé, a achevé de le convaincre qu’elle était faite pour lui – qu’elle l’attendait.
Il possède également un colt et pas mal de munition à portée de main, au cas où, et quelques « accessoires » essentiels tel que le sel… Mais il ne peut malheureusement pas mettre beaucoup de chose dans la malle de sa moto (et sa cousine le harcèle pour qu’il ait une voiture).


# compétences diverses : Jim sait mentir comme un arracheur de dent, lorsqu’il s’en donne la peine. Le théâtre ayant servi, il n’a aucun mal à se glisser dans la peau de quelqu’un d’autre – ce qui est assez pratique lorsqu’il lui faut mener sa petite enquête sur les apparitions surnaturelles.

Il écrit des poèmes à ses heures perdues, et les garde tous précieusement. Il a peur de mourir sans laisser de trace de son passage sur terre, de mourir et de tomber dans l’oubli : il espère bien que, si on oublie qui il est, ce qu’il écrit sera gardé quelque part et relu de temps à autres.

Il a quelque petit problème pour faire à manger. Rien de bien grave, mais, disons… Il vaut mieux qu’il s’achète des plats tout prêt, si personne n’est là pour lui faire la cuisine.

shadow
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MessageSujet: Re: [FICHE] ▬ Jim H. Lumberjack •• Va, je ne te hais point.   [FICHE] ▬ Jim H. Lumberjack •• Va, je ne te hais point. EmptyVen 16 Sep - 0:53


histoire
une petite citation ici

« S’il y a bien quelque chose que je n’aurai pas cru faire un jour, c’est bien être assis dans un parc, sur un banc, et parler à un… Un canard qui me réclame de quoi se nourrir. A croire que les poissons ne suffisent pas à le sustenter… Mais j’ai besoin de parler, vois-tu cher compagnon à plume – non, je ne parle pas d’ange – et… Je ne sais pas à qui parler et jacasser sur moi-même et ma petite personne, comme dirait Ariane… D’ailleurs c’est de sa faute si je t’embête, le canard. Elle a peur de l’eau quand c’est plus grand qu’une flaque, je ne savais pas où aller pour être sûr de ne pas la voir débarquer à l’improviste, comme elle sait si bien le faire…

Enfin bref. Par où commencer ? Le début, peut-être. Je suis un Canadien pur-sang, né à Vancouver. Comme toute ma famille, en fait : c’est une grande ville pourvu de tout ce dont on a besoin, pourquoi partirait-on ? Pourquoi, hein… Je suis fils unique. Mais mes cousins et cousines faisaient office de frère et sœur ; qu’est-ce que les liens du sang, après tout, qu’ils soient éloigné ou proche ? On devrait tous les aimer autant. Enfin bref. J’avais toujours eu une petite préférence pour Ariane. Elle était plus grande que moi, mais elle s’occupait du petit dernier sans rechigner. Il parait pourtant que je n’étais pas le plus calme… Mais vous savez, toutes les petites choses grandissent et avancent inlassablement vers leur destin. A-t-on réellement le choix ou sommes-nous programmé pour que, quoi qu’il arrive, nous fassions les choix nécessaires au bon moment pour nous mener du point A – notre naissance – au point B – notre mort – que ce chemin soit court, ou long ? J’aimerai savoir que notre libre-arbitre est réel, mais je me pose la question. Eh, je vous arrête, je ne suis pas Fataliste : ma liberté m’est chère et je pense à un mélange entre destin et liberté, de sorte que les grands tournants de la vie seraient écrit, et que tout le reste ne tient qu’à nous. Pardon, je m’égare encore…

Donc, nous grandissions, dans la joie et l’insouciance de notre jeunesse et de notre temps. Et de notre ignorance. Quand Ariane excellait en médecine, je rejetais l’idée de mes parents de faire de moi un avocat ou un agent des forces de l’ordre pour me jeter à corps perdu dans ce que je préférais ; le théâtre. Ma vocation. Les grandes tragédies, ces choses-là dans lesquelles je me reconnaissais si bien… Ça m’a valu quelques moqueries de la part de mes grands cousins tout en muscles. Je crois que c’est à ce moment-là qu’ils ont commencé à me surnommer « gay guy », pour rire. Ça ne faisait rire qu’eux. Tu sais, je crois sincèrement être quelqu’un d’assez libéré et ouvert mais là, clairement… J’ai eu du mal. Sur quoi ils se basaient, d’ailleurs ? Des préjugés honteux. D’accord, d’accord, ils avaient raisons, mais… Enfin. A cette époque-là, non. Enfin si, mais non, même moi je ne savais pas. Parce que je faisais du théâtre, parce que je portais des vêtements qui collaient trop au corps à leur goût, que je n’étais pas assez musclé, trop maniérés… Même Ariane s’y est mise, même si elle prenait également vaguement ma défense. Tu veux mon avis ? Ils ne connaissaient pas la vrai beauté. Femme, Homme, Monstre, qu’importe, après tout ?

Je comptais donc devenir quelqu’un. J’avais un grand destin sur les planches et derrière les flashes, je le sentais. Aussi, je me prêtais volontiers au jeu du modèle pour les étudiants en photographie. Je me pliais à tout ce qu’il voulait, et je crois qu’il appréciait ma maniabilité. Sans aucun sous-entendu, j’ai vu ton regard lubrique, le canard, et c’était vraiment déplacé. Mais passons, va, je ne te hais point. Et dans ma grande bonté, je te pardonne. Ma vie, donc, me semblait par-faite. Jusqu’à ce weekend, où Ariane est venue me chercher dans sa belle et « vieille » mustang. On est rentré chez elle, et… On a retrouvé ses parents, morts. Il leur manquait le cœur. Je crois que… C’est honteux, mais je crois que c’est elle qui m’a sorti de la maison. Eh, c’est la première fois que je voyais ça, j’ai failli mouiller mon pantalon et je crois que j’ai vomi dans le buisson, avant de faire un malaise. Mais j’ai une excuse ! J’ai une excuse. Comment, à ce moment-là, aurais-je pu penser au monde merveilleux dans lequel je vivais ? Non, je pensais juste qu’un malade avait fait ça, pas qu’un loup-garou avait dégusté le cœur de mon oncle et de ma tante…

J’ai repris ma vie, dans la mesure du possible. Ariane, elle, n’a pas lâché l’affaire avant de trouver satisfaction. Ensuite, elle m’a tout expliqué. J’ai immédiatement voulu la croire. Bon, évidemment, j’ai fait la grimace quand elle m’a fait lire tous ces bouquins-là, « Supernatural »… Mais ce n’était pas si terrible que ça, et ça m’a aidé, j’en suis certain. Puis Dean, hanw… Enfin bref, pardon. Il a fallu attendre encore un moment avant que je ne réentende parler de ça. En fait, il fallut attendre ce qui semblait être… L’apocalypse. D’après ce qu’on m’a dit. Je me souviens très bien – je m’en souviendrai toujours – de ma mère attrapant le couteau de cuisine pendant que mon père me retenait et m’empêchait de m’enfuir, la lueur malsaine au fond de leur regard, le sourire des tueurs en série, les yeux qui virent au noir et Ariane qui arrive et tue mes parents.

Pas les démons. Mais mes parents.

La douleur a suffi à me libérer, et on a fui. C’est à ce moment-là qu’a commencé notre vie de Chasseur. Je crois que je préférais, au début, me souvenir du temps où je me pensais prêt à devenir une star, une icône et un sex-symbol. Ouais. Je devais la vie à ma cousine et, dans un premier temps, je l’ai idolâtré pour ça. Mon Ariane, si belle et si forte – mon aînée, ma cousine, ma fierté. Et le seul membre restant de ma famille, puisque les Léviathans (sales bêtes) ont terminé le génocide familial. On a migré vers les Etats-Unis. Et, vous savez, Ariane est restée fidèle à elle-même, et j’ai commencé à redescendre de mon piédestal. Peut-être qu’actuellement je lui devais tout, mais je lui devais aussi mes frustrations. Toujours derrière moi, à me surveiller, à me rabaisser. Je sais bien qu’elle ne fait pas ça méchamment, si par plaisir, mais se faire entendre répéter à longueur de journée que seul, je ne vivrai pas un mois, et qu’à par l’adrénaline y’a d’autre chose que j’adorerai sentir… Oui canard, cette fois tu peux me lancer ton regard déplacé. Tout à fait. Je le pensais derrière moi, ce temps, révolu. Mais non…

Enfin. Quand ça c’est plus ou moins calmé (quoi que la Chute des Anges, je n’appelle pas ça vraiment le calme moi), on a pris la meilleure décision possible. Se séparer. Faire bande à part. Je sais que, quelque part, elle se soucis de moi et aime m’avoir à l’œil, histoire de me protéger. Mais je peux voler de mes propres ailes ! Je suis peut-être un peu maladroit, et tout le monde préfère Ariane, mais… Je suis un grand garçon. Puis, tu sais ce qu’on dit. Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années… Quoi ? Tu pars ? Eh, c’est la nourriture qui t’intéressait ? Saleté !... Je m’en fiche, de toute façon, j’ai pas besoin d’un canard. J’préfère d’autre type de créatures à plume… »



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# pseudo : Dukett o/
# date de naissance : 18 Mars
# fréquence de connexion : Très souvent.
# ta route jusqu'ici : Les fondas love love

# code de validation : steack haché !
# schizophrénie : Etat critique. (Scott, Carron, Neya')

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MessageSujet: Re: [FICHE] ▬ Jim H. Lumberjack •• Va, je ne te hais point.   [FICHE] ▬ Jim H. Lumberjack •• Va, je ne te hais point. EmptyDim 18 Sep - 16:59

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